Histoire de l'église de Pange
Un document écrit en latin nous dit que la Paroisse de Pange existait en 1093. Cette année là un nommé Richy, doyen de la cathédrale de Verdun, rend aux chanoines de Saint Sauveur, dont la collégiale se trouvait à Metz, entre la place Saint-Jacques et la rue du Petit Paris, la paroisse de Pange, qui en des temps troublés il avait reçue en fief de l’évêque de Metz, Adalbéron.
Plus tard, en 1843, l’église Saint-Martin de Pange a été bâtie suivant les plans de M. Lejaille, en remplacement d’une autre église devenue malsaine et trop exiguë.
La paroisse de Pange à laquelle appartiennent aussi les localités de Domangeville, mont, Colligny et Maizery est très ancienne. Elle est signalée pour la première fois dans un document de 1093, son patron est St Martin.
L'Eglise actuelle, batie à l'emplacement d'une autre remagnée plusieurs fois au cours des temps date de 1842-1844.
Elle est de style néo-gothique, son clocher à 33 m de haut et sa nef 33 m de long et 16 m de large; la hauteur de sa voute ogivale est de 12 m.
Elle a été construite alors que Françcois Chatel était maire de Pange, JP Stebel président du conseil de fabrique et Nicolas Beguin curé-archiprètre. L'architecte fut Jacques Lejaille en réalité agent-voyer de l'arrondissement de Metz, ayant auparavant longuement servi au génie militaire, il mettait volontiers son éxperience au service des communes leur fournissant des plans à bon compte.
Le gros oeuvre fût réalisé par l'entreprise Tuteur de Metz. Le coût total de l'édifice se montat à 41835 frances et 97 cts à l'époque. La dépense fût couverte par les communes de Pange, COlligny, Maizery, la fabrique de l'église, une souscription et une loterie organisées parmis les habitants et grâce à des dons du roi Louis Philippe, de la reine Marie Amélien, de madame Adélaïde, soeur du roi, du gouvernement et d'autres généreux bienfaiteurs.
Le Marquis Jacques de Pange, ancien général de brigade et pair de France offrit à lui seul 14000fr.
La construction rencontra aussi quelques opposants qui reprochaient au préfet Germeau d'avoir en approuvant les plans de Lejaille "doté Pange d'une cathédrale comme celle de Metz".
La bénédiction de la nouvelle Eglise eu lieu le dimanche 21 avril 1844 par Mgr Dupont des Logfes, Evèque de Metz assisté des vicaires généraux Beauvallet et Chalandon; les chants furent exécutés par les clercs du grand séminaires.
Par la suite, on ajouta à l'édifice, à la droite du choeur, une chapelle à l'usage de la famille de Pange, autorisée le 15 mars 1854 par le ministère des cultes. En 1907, on construira de l'autre coté, jouxtant la sacristie, une salle devant servir notemment aux réunions des prètres du canton de Pange.
A l'intérieur de l'Eglise, on remarquera les vitraux du choeur venant de la maison Benoit de Nancy, représentant la crucifixion, les disciples d'Emmaus et la vocation des apotres avec de petites scènes de la vie de St Martin. Le maitre autel en marbre de carrare date de 1903 et a été réalisé par Collin de Villers-laquenexy.
L'orque a été acheté en 1886 aux ateliers Dalstein et Herpfer de Boulay. A l'arrière du baptistère, un bas-relief représentant le baptême du christ est l'oeuvre du sculpteur Dastanière.
Dans la chappelle des Marquis, les vitraux proviennent de l'antique Eglise de St Barbe. Un médaillon représentant la vierge à la guenon d'Albrecht durer. Dans une niche, une autre vierge de pierre provient de l'église St Germain-l'auxerrois de Paris.
Les cloches de l'Eglise(FA SOL LA) datent de 1923 et viennet de la fonderie Farnier de Robécourt dans les vosges.
Pendant la dernière guerre, le dimanche 22 novembre 1942, on a pu célébrer le centenaire de l'Eglise de Pange en présence de Mgr Albert Louis, administrateur apostolique du diocèse.
Un document écrit en latin nous dit que la Paroisse de Pange existait en 1093. Cette année là un nommé Richy, doyen de la cathédrale de Verdun, rend aux chanoines de Saint Sauveur, dont la collégiale se trouvait à Metz, entre la place Saint-Jacques et la rue du Petit Paris, la paroisse de Pange, qui en des temps troublés il avait reçue en fief de l’évêque de Metz, Adalbéron.
Plus tard, en 1843, l’église Saint-Martin de Pange a été bâtie suivant les plans de M. Lejaille, en remplacement d’une autre église devenue malsaine et trop exiguë.
La paroisse de Pange à laquelle appartiennent aussi les localités de Domangeville, mont, Colligny et Maizery est très ancienne. Elle est signalée pour la première fois dans un document de 1093, son patron est St Martin.
L'Eglise actuelle, batie à l'emplacement d'une autre remagnée plusieurs fois au cours des temps date de 1842-1844.
Elle est de style néo-gothique, son clocher à 33 m de haut et sa nef 33 m de long et 16 m de large; la hauteur de sa voute ogivale est de 12 m.
Elle a été construite alors que Françcois Chatel était maire de Pange, JP Stebel président du conseil de fabrique et Nicolas Beguin curé-archiprètre. L'architecte fut Jacques Lejaille en réalité agent-voyer de l'arrondissement de Metz, ayant auparavant longuement servi au génie militaire, il mettait volontiers son éxperience au service des communes leur fournissant des plans à bon compte.
Le gros oeuvre fût réalisé par l'entreprise Tuteur de Metz. Le coût total de l'édifice se montat à 41835 frances et 97 cts à l'époque. La dépense fût couverte par les communes de Pange, COlligny, Maizery, la fabrique de l'église, une souscription et une loterie organisées parmis les habitants et grâce à des dons du roi Louis Philippe, de la reine Marie Amélien, de madame Adélaïde, soeur du roi, du gouvernement et d'autres généreux bienfaiteurs.
Le Marquis Jacques de Pange, ancien général de brigade et pair de France offrit à lui seul 14000fr.
La construction rencontra aussi quelques opposants qui reprochaient au préfet Germeau d'avoir en approuvant les plans de Lejaille "doté Pange d'une cathédrale comme celle de Metz".
La bénédiction de la nouvelle Eglise eu lieu le dimanche 21 avril 1844 par Mgr Dupont des Logfes, Evèque de Metz assisté des vicaires généraux Beauvallet et Chalandon; les chants furent exécutés par les clercs du grand séminaires.
Par la suite, on ajouta à l'édifice, à la droite du choeur, une chapelle à l'usage de la famille de Pange, autorisée le 15 mars 1854 par le ministère des cultes. En 1907, on construira de l'autre coté, jouxtant la sacristie, une salle devant servir notemment aux réunions des prètres du canton de Pange.
A l'intérieur de l'Eglise, on remarquera les vitraux du choeur venant de la maison Benoit de Nancy, représentant la crucifixion, les disciples d'Emmaus et la vocation des apotres avec de petites scènes de la vie de St Martin. Le maitre autel en marbre de carrare date de 1903 et a été réalisé par Collin de Villers-laquenexy.
L'orque a été acheté en 1886 aux ateliers Dalstein et Herpfer de Boulay. A l'arrière du baptistère, un bas-relief représentant le baptême du christ est l'oeuvre du sculpteur Dastanière.
Dans la chappelle des Marquis, les vitraux proviennent de l'antique Eglise de St Barbe. Un médaillon représentant la vierge à la guenon d'Albrecht durer. Dans une niche, une autre vierge de pierre provient de l'église St Germain-l'auxerrois de Paris.
Les cloches de l'Eglise(FA SOL LA) datent de 1923 et viennet de la fonderie Farnier de Robécourt dans les vosges.
Pendant la dernière guerre, le dimanche 22 novembre 1942, on a pu célébrer le centenaire de l'Eglise de Pange en présence de Mgr Albert Louis, administrateur apostolique du diocèse.